Goute d eau

Photographier des gouttes au moment où elles se heurtent à la surface d'un liquide

On appelle la formation de goutelettes "atomisation". Ces minuscules gouttes mesurent de 0,1 à 0,01 millimètres de diamètre.

En s'enfonçant dans le liquide, la goutte soulève une couronne de liquide de même volume. Puis la goutelette initiale est renvoyée surmontée d'une colonne

ci, la goutte de crème est envoyée sur une surface dure et imperméable. Du coup, elle s'étale en forme de crêpe et rebondit en couronne de liquide

La goutte ne sera stable que si le changement de pression en n’importe quel point de sa surface est compensé par une variation de sa tension de surface

ci, on a fait tomber trois gouttes en même temps. Cette photo fait partie d'une série d'expériences visant à étudier la façon dont les colonnes interfèrent entre elles.

Les physiciens cherchent à modéliser l'impact des gouttes par ordinateur. Pas moins de 400 000 milliards d'opérations sont nécessaires pour chaque impact !

Les problèmes d'atomisation servent à l'industrie automobile, car la façon dont les gouttelettes rebondissent sur les parois des chambres de combustion influe sur le rendement du moteur et son caractère plus ou moins polluant.

Cette image fait partie d'une série "collision", où deux gouttes sont envoyées à la suite au même point d'impact. Ici, une goutte bleue suit une goutte rouge.

Les fabricants d'imprimantes à jet d'encre sont bien entendu très intéressés par les "splashs". Ils cherchent à éviter l'atomisation des goutelettes, à l'origine des tâches.

L'agriculture : autre secteur adepte des splashs. Comment mesurer l'impact des gouttes de pluie sur les feuilles, et comment optimiser l'arrosage ?

Macro du rebond d'une goutte d'eau formant un angle droit.

Sculpture aquatique décrivant la forme d'une queue de dauphin.

Eclaboussures du rebond d'une goutte d'eau en macrophotographie.

Macro d'une couronne d'eau, avec le scintillement dû à l'utilisation d'un filtre CS (cross screen).